PATRIMOINE
PATRIMOINE
PATRIMOINE
Vue sur la rive droite de Chabanais et son quartier du moulin. A droite, le nouveau pont inauguré le 24 août 1959 a été le théâtre d’un terrible drame survenu le 7 septembre 1956 au cours duquel un ouvrier Jean Dupuy et un sauveteur Henri Humbert ont perdu la vie, noyés.
L’hôtel de Ville, inauguré le 25 octobre 1997, a remplacé au même endroit l’ancienne mairie.
L’église Saint-Pierre avec son portail d’entrée dans le mur du clocher. Il est du style début XVIIème siècle, dit classique. Cette église renferme un magnifique autel-tabernacle-retable entièrement en bois doré sculpté, du XVIIIème siècle. Depuis 1980, il est classé au titre des monuments historiques.
Le clocher Saint-Michel vu depuis l’église Saint-Pierre, seul reste de l’église démolie en 1819. On aperçoit juste derrière le toit de la tour du logis Saint-Michel situé devant le champ de foire de Chabanais.
Du clocher de l’église Saint-Pierre, on aperçoit sur l’autre rive l’église Saint-Sébastien et ses toits de tuiles rouges.
Le monument aux morts, inauguré le 9 octobre 1921, est une œuvre d’art signée Georges Delpérien, un sculpteur tourangeau. Situé devant l’église Saint-Sébastien, il incarne l’allégorie de la République dans toute sa splendeur. Au dos du monuments, on a inscrit une liste d’enfants de Chabanais morts pour la France en 1914-1918 puis ceux de 1939-1945, Algérie et Indochine.
L’église Notre-Dame de Grenord-l’eau est certainement la plus ancienne église de Chabanais. Elle renferme une magnifique pierre tombale d’un Jourdain, seigneur de Chabanais au XIIIème siècle.
La statue Sadi Carnot située sur la place Colbert a été inaugurée le dimanche 29 août 1897. Sadi Carnot est né à Limoges le 11 août 1837. Alors Président de la République, il est assassiné à Lyon le 24 juin 1894 par l’anarchiste Casério. Un buste en bronze rappelle fidèlement les traits de l’ancien Président. Au-dessous du buste, une femme en pleurs présente au Président les palmes du martyre : c’est la personnification de la France en deuil : une œuvre du statuaire Leroux.
La stèle du Brédin fut édifiée à l’endroit même, sur la rive droite de la Vienne, où le 1er août 1944, 7 maquisards FTP furent massacrés par une colonne allemande lors de la bataille de Chabanais.
L’ancien presbytère de Saint-Pierre servait de logement aux religieuses jusqu’en 1793, avant que celui-ci fut vendu comme “Bien National” et les divers meubles et objets récupérés par la municipalité. Ensuite, on allait s’en servir comme maison de dépôt (prison) en y faisant déposer les condamnés destinés au bagne de Rochefort. Il passa par la suite dans le domaine privé.
La gare SNCF, inaugurée le 16 avril 1875, se retrouve aujourd’hui “sans emploi” ! Espérons la retrouver très bientôt “ouverte au public” afin de pouvoir à nouveau reprendre ce service public nécessaire pour toute notre région.
La halle couverte au champ de foire est d’un grand besoin pour le commerce de ce qui est notre fierté : la vache limousine mais aussi à présent de la vache laitière. Deux grandes fêtes annuelles rassemblent les meilleurs éleveurs de toute la région : le festival Limousin et le festival Laitier.
Le logis Saint-Michel est situé sur les hauteurs de la ville devant le champ de foire, près du cimetière Saint-Pierre. Pendant les années révolutionnaires, en 1792, il fut le théâtre d’un épisode sanglant qui aboutit à la mort des deux frères Sardain habitant le logis Saint-Michel. Depuis 1922, il est la propriété de la famille Valentin.
La passerelle pour piétons relie toujours les établissements scolaires et sportifs au quartier du Brédin sur la rive gauche. Après des réparations nécessaires, elle est un chemin de randonnée agréable avec une belle sur la Vienne et ses rives, bien arborées.
Au milieu du parc, en plein centre-ville et en bordure de la Vienne, ce chêne pédonculé est cité parmi les arbres remarquables de la Charente par l’association “Charente Nature”. On lui donne l’âge de 300 ans, d’une hauteur de plus de 25 m et d’une circonférence de 5,40 m (en 1999).
Dernier des lavoirs du bourg, c’est l’ancêtre du lave-linge qui réunissait lavandières… et commères.
Le pont de la Grêne enjambe la rivière du même nom et va se jeter dans la Vienne à Chabanais. Il permet d’atteindre le village de Grenord à quelques centaines de mètres.
La fontaine de Grenord-l’eau est placée sous le patronage de la Nativité et de la Vierge Marie dont la fête est le 8 septembre. On y vient demander le mariage et la fécondité. C’est la plus grande fête qui subsiste aujourd’hui dans tout le canton autour d’une fontaine de dévotions.
Le domaine de Savignac vous accueille dans une demeure historique, maison de famille de Sadi Carnot, pour un séjour au sein d’un parc arboré de 2 hectares avec piscine chauffée en saison. La table d’hôte est composée principalement de produits locaux, voire du potager bio. Contact : 06 19 23 09 13.
LES CROIX
LES CROIX
Cette croix est située à l’intersection de la route de Rochechouart avec le départ de la route du Colonel Bernard, route qui mène au village de Grenord en direction de Massignac. Un accident de camion est venu endommager le socle de la croix, il y a quelques années et il fut restauré peu de temps après.
Cette croix est située face à la Vienne sur la rive gauche au fond de ce qui était le jardin des Sœurs de l’Instruction Chrétienne dans le presbytère d’où elles furent délogées en 1793.
Cette croix est située à l’intersection de la route de Rochechouart avec le départ de la route du Colonel Bernard, route qui mène au village de Grenord en direction de Massignac. Un accident de camion est venu endommager le socle de la croix, il y a quelques années et il fut restauré peu de temps après.
LES CROIX
Cette croix est située face à la Vienne sur la rive gauche au fond de ce qui était le jardin des Sœurs de l’Instruction Chrétienne dans le presbytère d’où elles furent délogées en 1793.
Cette croix est située face à la Vienne sur la rive gauche au fond de ce qui était le jardin des Sœurs de l’Instruction Chrétienne dans le presbytère d’où elles furent délogées en 1793.
Cette croix est située à l’intersection de la route de Rochechouart avec le départ de la route du Colonel Bernard, route qui mène au village de Grenord en direction de Massignac. Un accident de camion est venu endommager le socle de la croix, il y a quelques années et il fut restauré peu de temps après.
LES CROIX
Cette croix est située face à la Vienne sur la rive gauche au fond de ce qui était le jardin des Sœurs de l’Instruction Chrétienne dans le presbytère d’où elles furent délogées en 1793.
En 1894, les “Ponts et Chaussées” vendent à la commune l’emplacement laissé libre par la démolition de l’ancienne église Saint-Sébastien. Le curé-doyen Bayssat bénit cette croix édifiée sur la fontaine dédiée à St-Roch.
Au dos de la croix donnant sur la rue Palant-Lamirande, la statue dédiée à Saint-Roch est dans sa “niche”. Au-dessous, la fontaine du même nom était le lieu d’une “grande vote”, une dévotion avec une procession qui avait lieu le 16 août depuis l’épidémie de la peste en 1630 qui fit de nombreuses victimes dans toute la région.
Dans le village de la Quintinie, une croix en ciment remplace la croix vétuste dont le bois vermoulu s’effritait de plus en plus. Cette croix a été érigée grâce aux dons de nombreuses familles et à l’initiative de M. et Mme Vaudreville. Elle fut bénite le 5 mai 1948 par l’abbé Jagueneau.
En 1894, les “Ponts et Chaussées” vendent à la commune l’emplacement laissé libre par la démolition de l’ancienne église Saint-Sébastien. Le curé-doyen Bayssat bénit cette croix édifiée sur la fontaine dédiée à St-Roch.
Au dos de la croix donnant sur la rue Palant-Lamirande, la statue dédiée à Saint-Roch est dans sa “niche”. Au-dessous, la fontaine du même nom était le lieu d’une “grande vote”, une dévotion avec une procession qui avait lieu le 16 août depuis l’épidémie de la peste en 1630 qui fit de nombreuses victimes dans toute la région.
Dans le village de la Quintinie, une croix en ciment remplace la croix vétuste dont le bois vermoulu s’effritait de plus en plus. Cette croix a été érigée grâce aux dons de nombreuses familles et à l’initiative de M. et Mme Vaudreville. Elle fut bénite le 5 mai 1948 par l’abbé Jagueneau.
En 1894, les “Ponts et Chaussées” vendent à la commune l’emplacement laissé libre par la démolition de l’ancienne église Saint-Sébastien. Le curé-doyen Bayssat bénit cette croix édifiée sur la fontaine dédiée à St-Roch.
Au dos de la croix donnant sur la rue Palant-Lamirande, la statue dédiée à Saint-Roch est dans sa “niche”. Au-dessous, la fontaine du même nom était le lieu d’une “grande vote”, une dévotion avec une procession qui avait lieu le 16 août depuis l’épidémie de la peste en 1630 qui fit de nombreuses victimes dans toute la région.
Dans le village de la Quintinie, une croix en ciment remplace la croix vétuste dont le bois vermoulu s’effritait de plus en plus. Cette croix a été érigée grâce aux dons de nombreuses familles et à l’initiative de M. et Mme Vaudreville. Elle fut bénite le 5 mai 1948 par l’abbé Jagueneau.
Dans le village de la Quintinie, une croix en ciment remplace la croix vétuste dont le bois vermoulu s’effritait de plus en plus. Cette croix a été érigée grâce aux dons de nombreuses familles et à l’initiative de M. et Mme Vaudreville. Elle fut bénite le 5 mai 1948 par l’abbé Jagueneau.
